La Tribune
Alors même que l’érosion de la faune et la flore fait peser sur les grands groupes des risques conséquents, seule une minorité d'entre eux ont hissé la question en haut de leur agenda, avance le Boston Consulting Group et ChangeNow dans une nouvelle étude. Au sein des entreprises du CAC 40, seules 5% d'entre elles estiment que la perte de biodiversité a un « impact élevé » pour les actionnaires et les parties prenantes. Les entreprises ont pourtant tout intérêt à s'y intéresser, avancent les auteurs. Mais sans outil précis de mesure, encore faut-il qu’elles sachent comment s’y prendre.