Les Echos
Les fonds activistes ont trouvé avec les entreprises françaises un nouveau terrain de jeu. Plutôt que s'en alarmer, les dirigeants devraient s'en servir pour questionner davantage leur stratégie et la cohérence de leur gouvernance, écrivent Rodolphe Charme di Carlo (Principal) et Stanislas Nowicki (directeur associé).